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Malcolm Wilson nommé vice-président de la FIA


Figure emblématique du championnat du monde des rallyes, ancien pilote et fondateur de l’équipe M-Sport, Malcolm Wilson est en passe de devenir le nouveau vice-président de la FIA chargé des sports.

En effet suite à la démission de Robert Reid, la FIA a nommé cette semaine Wilson pour le remplacer. Il prendra ses fonctions en juin prochain suite à un vote d’approbation par les membres de la fédération.










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Les USA préparent leur arrivée sur le WRC en 2026


Après deux éditions en 1987 et 1988 sur le WRC avec l’Olympus Rally, les Etats-Unis sont désormais considéré comme le grand favori pour intégrer le calendrier du championnat du monde des rallyes dès 2026.

L’officialisation du contrat de plusieurs années avec le promoteur et la FIA devrait intervenir courant juillet lors de la publication du prochain calendrier WRC 2026 qui ne va pas subir de grands changements hormis cette nouvelle épreuve sur terre qui va se dérouler dans le Tennessee. A suivre…










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Les engagés du rallye WRC Portugal 2025


Véritable pilier du WRC, le Portugal qui se déroule dans la région de Porto du 15 au 18 mai vient de présenter sa liste d’engagés pour cette nouvelle édition qui sera la cinquième épreuve du calendrier 2025.

Ce sont 95 équipages qui vont s’affronter sur les pistes en terre portugaises avec notamment 12 Rally1 et 55 Rally2.

Chez Toyota Gazoo Racing, pour la troisième fois de la saison (Monte-Carlo et Îles Canaries), cinq Yaris Rally1 sont engagées avec Evans, Ogier, Rovanperä, Katsuta (non nominé pour les points constructeurs) et Pajari dans la Team B. Hyundai Motorsport reste une nouvelle fois sur le même plan avec trois autos pour Neuville, Tänak et Fourmaux. Chez M-Sport, quatre Ford Puma Rally1 vont évoluer avec Munster et McErlean les pilotes officiels accompagnés de deux privés : Sesks en saison partielle mais aussi le local Diogo Salvi.

Dans la catégorie WRC2, 47 pilotes avec notamment Greensmith, Solberg, Zaldivar, Solans, Korhonen, les frères Rossel et Bulacia, Heikkilä, Kajetanowicz, Joona, Virves, Cachón, Linnamäe, Franceschi, Loubet. On notera aussi les participations de Sordo et Meeke non inscrits en WRC2 mais pour le championnat du Portugal.

Programme et liste complète des engagés du Rallye WRC Portugal 2025 disponible ► ici.










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Ogier continue sa saison partielle au Portugal


Après deux manches asphaltes au Monte-Carlo puis aux Canaries cette semaine, Ogier va continuer sa saison partielle 2025 en mai sur la prochaine épreuve du WRC sur les pistes en terre du Portugal.

On retrouvera de nouveau cinq Toyota Yaris Rally1 confiées à Evans, Ogier et Rovanperä (pour la Team A), Katsuta qui roulera mais n’est pas nominé pour les points constructeurs, et Pajari comme d’habitude dans la Team B.

Liste complète des 95 engagés du Rally WRC Portugal 2025 disponible ► ici.










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Loubet de retour en WRC2 avec M-Sport


Champion WRC2 en 2019 puis ensuite pilote dans la catégorie reine avec une Hyundai i20WRC puis officiel chez M-Sport, Pierre-Louis Loubet vient d’officialiser un nouveau programme en mondial.

Il repart pour une campagne dans la catégorie WRC2 dès le mois prochain au rallye du Portugal avec l’équipe M-Sport au volant d’une Ford Fiesta Rally2 avec Loris Pascaud en copilote.












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La FIA et les pilotes du WRC ont trouvé un accord


Après l’incident du rallye de Suède, la FIA et les pilotes du WRC semblent cette fois avoir trouvé une voie de réconciliation. Pour rappel des faits, Fourmaux avait reçu une amende de 10000€ (+20000€ si récidive sous douze mois) suite à son langage « grossier » lors de l’interview au point stop de la Power Stage finale suédoise.

L’intégralité des équipages du WRC (pilotes et copilotes) avaient donc décidé de créer un collectif : le WoRDA (World Rally Driver Alliance). En tant qu’acteurs principaux de la compétition, ce mouvement a pour but de préserver leurs droits et éviter les décisions unilatérales devenues de plus en plus fréquentes et lourdes. Ils ont expliqué notamment que l’adrénaline développée (face notamment à la pression médiatique, à la vitesse à bord des autos et aux risques encourus…) avait pour conséquence de les faire réagir quelque fois à chaud et sans filtre. Les règles concernant la retenue du langage voulues par la FIA s’en retrouvent ainsi compliquées à respecter.

Dès ce week-end sur l’épreuve des Îles Canaries, un assouplissement du réglement sera mis en place via des un système de zones contrôlées et non contrôlées quant aux propos des équipages. Les zones non contrôlées regroupent les moments pendant les spéciales, les liaisons et à la fin de chaque chrono. Les parties contrôlées sont les interviews par exemple lors des conférences de presse.

Les pilotes, qui au Safari Rally Kenya ne répondaient plus aux interviews officiels (ou dans leurs langages maternels), devraient donc reprendre une activité normale aux Canaries.










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Une 4ème Puma Rally1 au Portugal pour Salvi


En plus des deux pilotes officiels de l’équipe M-Sport (Munster et McErlean) et Sesks qui continue son programme partiel cette saison, une quatrième Ford Puma Rally1 sera alignée au rallye du Portugal en mai prochain.

C’est le pilote portugais Diogo Salvi (âgé de 55ans) qui sera aux commandes de l’auto, habitué ces dernières années à participer au rallye du Portugal dans la catégorie WRC2 en Skoda Fabia Rally2.

La liste complète des engagés sera publiée ce mercredi 23 avril.










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Deux Yaris Rally2 pour les frères Bulacia en WRC2


Nouvelle campagne et un tout nouveau challenge pour les frères Bulacia, Marco et Bruno, qui vont toujours évoluer sur le championnat WRC2 cette saison, mais cette fois au volant de deux Toyota Yaris Rally2.

Les deux pilotes boliviens seront présents sur sept épreuves exclusivement sur terre à commencer par le Portugal le mois prochain puis la Sardaigne, la Grèce, l’Estonie, la Finlande, le Paraguay et le Chili.












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Fourmaux au Rali Terras d’Aboboreira en i20 Rally1


Après Neuville sur la manche d’ouverture de l’ERC au Rally Sierra Morena en Espagne début avril, c’est maintenant au tour de Fourmaux de bénéficier d’une séance d’essai grandeur nature sur une épreuve avec la i20 Rally1.

Le Français est engagé sur la troisième épreuve du championnat portugais au Rali Terras d’Aboboreira (10 spéciales – 114,39kms) près de Amarante du 2 au 3 mai afin de se préparer au rallye WRC du Portugal 2025.










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Pourquoi les Hypercars Redéfinissent les Limites de la Performance Automobile


Avant d’explorer le monde fascinant des voitures sportives d’exception, il est intéressant de mentionner une alternative divertissante pour les passionnés de sensations fortes. Si vous aimez les expériences immersives où stratégie et chance se rencontrent, monopoly casino pourrait vous captiver. Ce jeu en direct combine l’univers classique du Monopoly avec l’interactivité du casino en ligne pour offrir des sessions dynamiques et pleines de suspense. Une excellente façon de prolonger le frisson une fois le moteur coupé.

Aperçu

Les hypercars ne se contentent plus d’être de simples véhicules rapides. Elles symbolisent aujourd’hui l’extrême en matière de technologie, de design et de prestige automobile. Produites en quantités très limitées, elles incarnent l’excellence mécanique et l’avant-garde de l’ingénierie moderne. Sur Planetemarcus.com, site dédié aux univers mécaniques et à la performance, ces bijoux technologiques occupent une place toute particulière.
Alors que les constructeurs rivalisent d’audace pour repousser les limites de la vitesse et de l’aérodynamisme, les hypercars sont devenues de véritables laboratoires roulants. Elles influencent même les innovations futures des voitures plus « grand public », transformant la façon dont l’industrie envisage la mobilité de demain.

Hybrides et Électriques : la nouvelle norme dans le segment extrême

Un changement fondamental s’opère dans l’univers des voitures ultra-performantes : le passage progressif aux motorisations hybrides, voire 100 % électriques. Loin de nuire à l’ADN sportif de ces machines, cette transition énergétique leur donne un souffle inédit.

Les constructeurs comme Ferrari, Rimac ou Lotus ont adopté cette révolution technologique. Le résultat ? Des accélérations foudroyantes, une réponse immédiate à l’accélérateur et un comportement routier réactif, même à haute vitesse.

Exemples marquants d’hypercars électrifiées

Rimac Nevera : 1 914 chevaux, 0 à 100 km/h en moins de 2 secondes

Ferrari SF90 Stradale : combinaison V8 + moteurs électriques pour une efficacité maximale

Lotus Evija : entièrement électrique, avec une puissance de 2 000 chevaux

L’intégration de batteries légères et de systèmes de récupération d’énergie a transformé la manière dont ces véhicules fonctionnent sans renier leur ADN sportif.

Aérodynamisme actif : l’arme secrète des performances modernes

Les hypercars modernes ne misent pas seulement sur la puissance brute. L’aérodynamisme joue un rôle crucial dans leur efficacité, notamment grâce aux technologies actives qui adaptent en temps réel la carrosserie au style de conduite.

Des volets mobiles, des diffuseurs adaptatifs ou encore des ailerons déployables permettent d’optimiser l’adhérence à haute vitesse tout en réduisant la traînée dans les lignes droites. Ce niveau d’ingéniosité offre une précision de pilotage inégalée.

Les avantages clés de l’aérodynamisme évolutif :

– Amélioration de la stabilité à haute vitesse

– Réduction de la résistance à l’air pour de meilleures reprises

– Meilleure tenue de route dans les virages serrés

Ce type de technologie, autrefois réservé à la Formule 1, devient aujourd’hui un standard dans le monde de l’hyperperformance routière.

Intérieurs futuristes : confort, connectivité et pilotage assisté

L’univers des hypercars ne se limite pas à l’extérieur agressif et aux moteurs déchaînés. L’habitacle devient un espace raffiné, technologique et axé sur l’expérience du conducteur. Finis les intérieurs dépouillés des anciennes générations : place à une ergonomie pensée pour l’interaction humaine.

Les tableaux de bord numériques, les affichages tête haute et les systèmes de navigation intelligents font désormais partie de l’équipement de série. Même les sièges sport sont conçus pour offrir un confort surprenant, même à haute vitesse.

Des icônes limitées mais éternelles

L’exclusivité est un élément clé du succès de ces véhicules. Produits à quelques exemplaires, parfois même personnalisés à l’extrême, les hypercars deviennent rapidement des objets de collection.

Les collectionneurs et passionnés s’arrachent ces modèles, parfois même avant leur sortie officielle. Cette rareté renforce leur valeur perçue et leur aura mythique dans l’histoire de l’automobile.

Pourquoi ces voitures fascinent autant :

– Elles représentent la quintessence du savoir-faire mécanique

– Leur design repousse les standards esthétiques traditionnels

– Elles incarnent un rêve inaccessible pour la majorité

L’achat d’une hypercar, au-delà de la passion, est souvent un investissement stratégique à long terme.

Conclusion

L’univers des hypercars est en perpétuelle évolution, toujours à la recherche de nouveaux sommets technologiques et stylistiques. Ces bolides d’exception ne se contentent pas de battre des records : ils redéfinissent ce qu’il est possible de faire avec quatre roues et un volant.

Pour les lecteurs de Planetemarcus.com, suivre cette évolution est bien plus qu’un passe-temps : c’est une immersion dans le futur de l’automobile. Et même si ces modèles restent rares, leur influence sur l’industrie est bien réelle, et leur légende ne fait que commencer.