Après une pause l’année dernière au profit de son voisin la Lettonie, l’Estonie est de retour cette saison sur le championnat du monde des rallyes en tant que huitième épreuve du calendrier 2025.
Ce sont vingt spéciales sur terre et 308,35kms que les pilotes vont aborder dans la région de Tartu avec la particularité de faire des boucles matinales différentes de celles de l’après-midi.
Programme du Rallye WRC Estonie 2025 disponible ► ici.
Preview rallye WRC du Portugal 2025
Le championnat du monde des rallyes entame sa tournée des manches méditerranéennes sur la terre au Portugal à Porto où les pilotes vont s’affronter sur vingt-quatre spéciales (344,50kms) de jeudi à dimanche. Un beau plateau pour cette cinquième épreuves de la saison avec pas moins de 91 équipages dont 12 Rally1 et 51 Rally2.
L’équipe Toyota Gazoo Racing invaincue, se présente pour la troisième fois cette année (Monte-Carlo et Îles Canaries) avec cinq Yaris Rally1 confiées à Evans, Ogier, Rovanperä, Katsuta (non nominé pour les points constructeurs) et Pajari dans la Team B. Hyundai Motorsport reste une nouvelle fois sur le même plan avec trois i20 Rally1 pour Neuville, Tänak et Fourmaux. Chez M-Sport, quatre Ford Puma Rally1 vont évoluer avec Munster et McErlean les pilotes officiels et deux privés : Sesks mais aussi le local Diogo Salvi.
Dans la catégorie WRC2, 43 pilotes avec notamment Greensmith, Solberg, Zaldivar, Solans, Korhonen, les frères Rossel et Bulacia, Heikkilä, Kajetanowicz, Joona, Virves, Cachón, Linnamäe et Loubet. On notera aussi les participations de Sordo et Meeke non inscrits en WRC2 mais pour le championnat du Portugal et également Gryazin qui n’a pas choisi ce rallye pour scorer.
Le Live Text du Rallye WRC Portugal 2025 avec les horaires, les infos, les faits de course, les engagés, les cartes, les résultats, les ordres de départ par journée… est disponible ► ici.
Pourquoi, dans le football, « bloquer le centre » permet-il d’arrêter les adversaires les plus forts ?
Au plus haut niveau, le football se résume de plus en plus à un contrôle du milieu de terrain. Les équipes qui bloquent les zones centrales limitent l’espace pour les passes et privent leurs adversaires de leur vitesse. Cette approche est particulièrement efficace contre les clubs qui jouent en passes courtes. Pour suivre les matchs les plus tactiques, il suffit d’ouvrir http://1xbet.sn/fr et miser au bon moment.
Les entraîneurs modernes se concentrent sur la densité et la synchronisation des mouvements au centre du terrain. Les équipes qui appliquent cette stratégie réduisent la précision des passes adverses jusqu’à 68 % dans les zones clés. En réduisant les distances entre les joueurs, elles parviennent à minimiser le nombre de tirs depuis des positions avantageuses. Quand le jeu se resserre au milieu, vous pouvez placer vos paris via 1xBet sans difficulté.
Comment les équipes utilisent le marquage au centre
Les joueurs se positionnent de manière à créer des « tunnels » dans lesquels l’adversaire perd toute possibilité de faire progresser le ballon. On utilise des schémas 4-1-4-1 ou 4-2-3-1 avec une discipline zonale élevée. L’objectif principal est de forcer l’adversaire à se déplacer sur les ailes et à perdre en profondeur dans ses attaques. Pour ajuster votre mise pendant le match, l’idéal est de parier en direct facilement – 1xBet avec des cotes actualisées.
Voici comment les chiffres illustrent l’efficacité du blocage du centre :
– 72 % des passes bloquées avec succès ont lieu dans le tiers central du terrain
– 42 % des attaques adverses sont interrompues avant d’entrer dans la surface de réparation
– 18,3 : distance moyenne des tirs lorsque le centre est fermé
Vous pouvez parier en direct facilement sur site 1xBet dès qu’une phase intéressante se développe au centre.
Pourquoi cela fonctionne contre les clubs de haut niveau
Les équipes qui contrôlent le centre remportent 63 % des matchs contre des adversaires plus forts en attaque. Leur défense ne commence pas à la ligne de la surface de réparation, mais dès la ligne médiane. Cela leur permet de rester compactes et de dicter le rythme. C’est pourquoi les entraîneurs misent de plus en plus sur la densité tactique au milieu. Quand vous identifiez un schéma gagnant, ajustez votre 1xBet pari en ligne rapidement.
Les meilleures équipes construisent le plus souvent leurs attaques par le centre, en utilisant les liens entre le milieu de terrain et l’attaque. En bloquant cette zone, il est possible de neutraliser les passes clés et de compliquer le développement du jeu. Les amateurs de tactique utilisent souvent leur pari en ligne sur 1xBet en fonction du déroulement du match.
Le câble de recharge type 2 pour véhicules électriques : choix, utilisation et perspectives
1. Bien choisir son câble de recharge de type 2
un. Comprendre le fonctionnement du câble de type 2
Le câble de type 2, également connu sous le nom de connecteur Mennekes, est devenu la norme européenne pour la recharge des véhicules électriques. Ce connecteur, normalisé selon la norme IEC 62196, se distingue par sa forme circulaire comportant sept broches : quatre pour le courant (triphasé), une pour la terre et deux pour la communication entre le véhicule et la borne.
Cette configuration permet une recharge en mode 3, c’est-à-dire avec communication bidirectionnelle, garantissant une sécurité optimale et une adaptation de la puissance délivrée. La norme type 2 a été adoptée officiellement par l’Union Européenne en 2014, uniformisant ainsi les infrastructures de recharge sur le continent.
b. Vérifier la compatibilité avec son véhicule électrique
La plupart des véhicules électriques commercialisés en Europe sont équipés d’une prise de type 2. C’est notamment le cas des modèles Tesla, Volkswagen ID, Renault Zoé, Audi e-tron, Mercedes EQC et bien d’autres.
Il est important de distinguer la prise type 2 du type 1 (standard japonais et américain). Le type 1 possède une forme différente avec cinq broches et ne permet généralement que la recharge monophasée. Si votre véhicule est équipé d’une prise type 1 (comme certains modèles plus anciens ou importés), des adaptateurs sont disponibles, mais ils limitent souvent la puissance de charge.
c. Déterminer la bonne longueur et la puissance du câble
La longueur du câble doit correspondre à votre utilisation principale :
– Pour une utilisation domestique : 5 à 7 mètres suffisent généralement
– Pour les bornes publiques : 7 à 10 mètres offrent plus de flexibilité
Concernant la puissance, elle dépendra de votre installation électrique et des capacités de votre véhicule :
– Câble monophasé 16A (3,7 kW) : solution basique adaptée aux petites voitures électriques
– Câble monophasé 32A (7,4 kW) : convient à la plupart des besoins domestiques
– Câble triphasé 16A (11 kW) ou 32A (22 kW) : pour une recharge plus rapide, si votre véhicule et votre installation le permettent
Plus la section du câble est importante (généralement entre 3×2,5 mm² et 5×6 mm²), plus il pourra supporter une puissance élevée sans surchauffe.
2. Utilisation et installation d’un câble de recharge type 2
un. Identifier les types de prises compatibles (borne, prise renforcée, etc.)
Plusieurs configurations existantes pour utiliser un câble de recharge de voiture de type 2 :
– Bornes AC publiques : équipées d’une prise type 2 femelle, elles nécessitent votre propre câble
– Wallbox domestique : généralement avec prise type 2 ou câble attaché
– Bornes rapides DC : souvent équipées d’un câble fixe avec connecteur Combo CCS (type 2 avec broches supplémentaires)
– Prises domestiques renforcées (Green’Up) : obligatoirement un câble mode 2 avec boîtier de contrôle
Il est essentiel de savoir que toutes les bornes ne délivrent pas la même puissance. Une borne publique AC peut offrir de 7,4 kW à 22 kW, tandis qu’une station de charge rapide DC peut atteindre 50 kW et bien plus.
b. Installation à domicile : ce qu’il faut savoir
Pour optimiser l’utilisation d’un câble type 2 à domicile, l’idéal est d’installer une wallbox :
– Prérequis électriques : compteur adapté, tableau électrique avec capacité suffisante, ligne dédiée
– Puissance recommandée : 7,4 kW (monophasé 32A) pour une utilisation courant
– Raccordement : à réaliser par un électricien qualifié IRVE (Infrastructure de Recharge pour Véhicules Électriques)
L’installation d’une borne domestique coûte entre 800€ et 1500€, mais des aides existantes (crédits d’impôt, subventions locales) pour réduire cet investissement.
c. Conseils pour une recharge efficace et sécurisée
Pour préserver la durée de vie de votre câble et assurer votre sécurité :
– Évitez absolument l’utilisation de rallonges électriques
– Stockez le câble enroulé sans coudes trop serrés dans un sac dédié
– Vérifiez régulièrement l’état des connecteurs et de la gaine
– Ne laissez pas le câble traîner au sol en cas d’intempéries
– Préférez les câbles avec un indice de protection élevé (IP44 minimum, IP55 recommandé)
– Respectez la capacité indiquée sur le câble, même si votre voiture accepte une puissance maximale supérieure.
3. Comparatif des câbles de recharge type 2 sur le marché
un. Les critères techniques à prendre en compte
Pour choisir judicieusement, considérez :
– Longueur : entre 5 et 10 mètres (les câbles trop longs peuvent subir des pertes)
– Puissance maximale supportée : de 3,7 kW à 22 kW
– Section des conducteurs : plus elle est importante, plus le câble supportera un courant élevé
– Indice de protection : minimum IP44, idéalement IP55 ou IP65
– Température d’utilisation : -30°C à +50°C pour une utilisation en toutes saisons
– Certifications : TÜV, CE, conformité à la norme IEC 62196
b. Marques populaires et rapport qualité/prix
Plusieurs fabricants se distinguent sur le marché :
– Green Cell : bon rapport qualité/prix, câbles robustes (80-150€)
– EVBox : qualité professionnelle, durabilité excellente (150-250€)
– Morec : options abordables avec bonnes caractéristiques (70-130€)
– Phoenix Contact : haut de gamme, très haute durabilité (200-300€)
– Juice Technology : innovation et qualité suisse (150-250€)
Les différences de prix s’expliquent principalement par la qualité des matériaux, la durabilité et les fonctionnalités supplémentaires (affichage LED, étanchéité renforcée).
c. Retours d’expérience et avis utilisateurs
L’analyse des commentaires sur les sites marchands et forums spécialisés révèle plusieurs points d’attention :
– La flexibilité du câble est souvent citée comme critère important, surtout par temps froid
– La qualité des connecteurs est primordiale pour éviter la surchauffe
– Les câbles trop légers sont généralement moins durables
– Les utilisateurs utilisent les câbles avec indicateurs LED de charge
– Les problèmes les plus fréquents concernent la connexion électronique ou les verrouillages défectueux
Les câbles avec un sac de rangement inclus sont particulièrement appréciés pour leur aspect pratique.
4. Le renouveau des câbles de recharge type 2
un. Vers une généralisation des bornes compatibles type 2
L’Europe poursuit sa normalisation autour du connecteur type 2. La directive AFIR (Alternative Fuels Infrastructure Regulation) renforce cette tendance en imposant des stations de recharge tous les 60 km sur les grands axes routiers, toutes équipées de prises type 2 ou de câbles avec ce standard.
La densification des réseaux de recharge publics rend l’utilisation du câble type 2 de plus en plus pertinente, même si les opérateurs tendent à équiper leurs bornes rapides de câbles attachés.
b. Innovations technologiques en matière de recharge
Plusieurs avancées se profilent :
– Câbles à refroidissement liquide permettant des puissances supérieures (jusqu’à 350 kW)
– Connecteurs intelligents avec identification automatique et facturation intégrée
– Systèmes bidirectionnels (V2G – Vehicle to Grid) autorisant le véhicule à réinjecter de l’électricité dans le réseau
– Câbles ultra-légers utilisant de nouveaux matériaux conducteurs
Connecteurs avec diagnostic automatique d’usure
– Ces innovations viendront compléter l’écosystème du type 2 plutôt que le remplacer.
c. Tendances et évolutions du marché de la recharge
Le marché évolue rapidement avec :
– Une montée en puissance des standards de recharge rapide (type 2 combiné CCS)
– Une harmonisation progressive des tarifs et des systèmes d’accès
– Un développement des solutions hybrides AC/DC sur une même borne
– Une intégration des câbles de recharge dans des systèmes de gestion d’énergie domestique
– Une simplification des interfaces utilisateur
La tendance est également à l’intégration des stations de recharge dans les systèmes énergétiques intelligents, avec pilotage de la charge en fonction de la disponibilité des énergies renouvelables.
Le choix d’un câble de recharge type 2 adapté constitue un élément essentiel pour optimiser l’expérience de recharge des véhicules électriques. En tenant compte des critères techniques, de la compatibilité avec le véhicule et l’infrastructure, ainsi que des évolutions technologiques, les utilisateurs peuvent sélectionner la solution la plus appropriée à leurs besoins spécifiques.
Les engagés du rallye WRC de Sardaigne 2025
Pour la sixième épreuve du calendrier 2025, le WRC fait une halte sur les terres sardes du 5 au 8 juin où seize spéciales sont au programme avec 320 kilomètres à parcourir. L’organisation du rallye de Sardaigne vient de dévoiler aujourd’hui la liste des engagés avec 68 équipages au départ dont 12 Rally1 et 43 Rally2.
Chez Toyota, cinq Yaris Rally1 avec Evans, Rovanperä, Ogier et Katsuta (non nominé pour les points constructeurs) et Pajari (Team B). Hyundai va toujours aligner ses trois i20 Rally1 aux mains de Neuville, Tänak, Fourmaux. Enfin chez M-Sport, quatre Ford Puma Rally1 confiées à Munster et McErlean qui seront comme habituellement les représentants de l’équipe britannique, avec en plus Sesks et Serderidis en privé.
Dans la catégorie WRC2, on retrouvera 34 engagés avec notamment les frères Rossel et Bulacia, Zaldivar, Solans, Cachón, Korhonen, Heikkilä, Joona, Lindholm, Kajetanowicz, Prokop, Virves, Loubet. A noter les participations de Solberg et Gryazin mais qui n’ont pas choisi cette épreuve pour scorer au championnat.
Programme et liste complète des engagés du Rallye WRC Italie Sardaigne 2025 disponible ► ici.
Parcours identique pour le rallye WRC du Chili 2025
Le championnat du monde des rallyes visitera deux pays sud-américain cette saison avec pour commencer fin août le petit nouveau le Paraguay pour ensuite se diriger quinze jours plus tard au Chili.
Dans la région de Concepción l’épreuve chilienne va se dérouler du 11 au 14 septembre cette année avec un programme identique à 2024 au kilomètre près, à savoir seize spéciales pour 306,76kms à parcourir.
Programme du Rallye WRC du Chili 2025 disponible ► ici.
Carte Google Earth 2025 – Rallye WRC Sardaigne
D’après une idée originale de Dimitri Dusart depuis plusieurs saisons maintenant, la carte Google Earth de chaque épreuve du championnat du monde des rallyes est disponible gratuitement sur PLANETEMARCUS. Elle vous permet de vous organiser au mieux avant de vous rendre sur place (préparer le timing, choisir les bons spots…).
La Carte Google Earth du rallye WRC Italie Sardaigne 2025 est disponible ► ici.
Pour la consulter, deux solutions s’offrent à vous :
1/ Via Google Maps
Se rendre sur la page du programme du rallye, scroller jusqu’en bas (sous les horaires) afin de visualiser l’encart de la carte. Cliquez « sur le rectangle en haut à droite ». Cela permet de vous envoyer directement sur l’appli Google Maps de votre smartphone ou sur le site de Google Maps de votre ordinateur.
A noter que si vous continuez à visiter la page en dessous de cet encart, il y a désormais le live text avec toutes les infos de l’épreuve (victoires en spéciales, listes de départ des pilotes par jour, faits marquants…).

Attention cependant depuis mars 2024, la Loi européenne a demandé de corriger quelques paramètres à Google, et vous pouvez rencontrer des soucis pour afficher la carte dans l’application. Voici la marche à suivre pour éviter ce bug : ouvrir votre application Gmail, cliquer sur votre photo de profil et en dessous « gérer votre compte Google », puis « données et confidentialité », descendre dans « services Google associés » et « gérer les services associés », cocher MAPS et valider.
2/ Via Google Earth en ligne
Toujours sur la page du programme du rallye mais tout en haut dans le menu bleu sur fond noir, cliquez sur « Carte Google Earth ». Cette action vous dirige directement sur la version en ligne de Google Earth.
*CLIC SUR LE MENU

*VISUALISATION
Vous découvrez la zone du rallye avec les spéciales dessinées en rouge. En bas à gauche un sommaire déroulant permet d’aller directement vers le chrono de votre choix avec un encart à droite qui affiche les infos.

Aussi quatre icônes sont disponibles en bas à droite de la fenêtre de navigation, le premier (petit bonhomme blanc) permet de basculer en mode Street View, et en le bougeant sur le parcours cela permet de visualiser l’endroit.

*ENREGISTREMENT DU FICHIER .KML
Vous avez toujours la possibilité d’enregistrer sur votre ordinateur le fichier KML de Google Earth. Il faut alors dans la fenêtre de visualisation cliquer en haut à droite sur la flèche retour.

Puis actionner « fichier » et « exporter en tant que fichier KML ».

Comment fonctionnent les essuie-glaces ? Zoom sur un mécanisme essentiel, mais méconnu
Discrets, mais vitaux, les essuie-glaces font partie de ces dispositifs automobiles auxquels on ne prête attention que lorsqu’ils dysfonctionnent. Pourtant, ce mécanisme simple en apparence joue un rôle central dans la sécurité routière, notamment lors des épisodes pluvieux ou neigeux. Si leur mouvement rythmique est familier à tous les conducteurs, peu savent ce qui se cache derrière leur fonctionnement.
Juste après l’invention du pare-brise, leur développement s’est imposé comme une nécessité technique et sécuritaire. Aujourd’hui, ils sont plus performants, plus silencieux, et même intelligents. Dans cet article, nous vous proposons de découvrir leur fonctionnement, leur évolution technologique et les défis qu’ils doivent relever, notamment lors de leur utilisation à grande vitesse.
Une mécanique fine au service de la visibilité
Les essuie-glaces reposent sur un système mécanique entraîné par un moteur électrique compact, souvent situé sous le capot, près de la base du pare-brise. Ce moteur active un système de tringlerie qui transforme la rotation du moteur en un va-et-vient régulier. À chaque passage, les balais, en caoutchouc ou en silicone, balaient la surface du pare-brise, éliminant l’eau, la poussière ou la neige.
Le mouvement synchronisé des balais n’est pas laissé au hasard. Leur angle, la pression exercée sur le pare-brise, et la vitesse de balayage sont calculés avec précision par les ingénieurs pour offrir une visibilité maximale sans bruit excessif, ni usure prématurée.
Comme le souligne l’expert AUTODOC : « Les systèmes modernes de balayage sont conçus pour adapter automatiquement leur vitesse, voire leur fréquence, selon les conditions détectées par les capteurs de pluie ou de luminosité. » Ce raffinement technologique contribue grandement au confort de conduite, mais surtout à la sécurité.
Haute vitesse, hautes exigences
Lorsque le véhicule roule à grande vitesse, l’air exerce une pression considérable sur les balais d’essuie-glace. Sans dispositif adapté, ceux-ci risquent littéralement de décoller du pare-brise, rendant leur action inefficace. Pour y remédier, les constructeurs ont développé des balais profilés qui épousent l’aérodynamisme du pare-brise, ainsi que des bras à pression variable.
Le fonctionnement des essuie-glaces à grande vitesse repose également sur des moteurs renforcés, capables de maintenir une fréquence de balayage rapide sans surchauffe, et ce malgré la résistance de l’air et l’intensité des précipitations. Les modèles haut de gamme intègrent même une fonction « mémoire » : à l’activation, les essuie-glaces reprennent automatiquement la dernière vitesse utilisée en fonction des conditions précédentes.
Selon une étude menée par l’Observatoire Européen de la Sécurité Routière, près de 12 % des accidents liés à des conditions météorologiques impliquent une visibilité réduite, souvent due à un mauvais état des balais ou à un système de balayage inadapté à la vitesse du véhicule.
Voici un aperçu comparatif de la performance des essuie-glaces en fonction de la vitesse du véhicule et des conditions climatiques :
Vitesse du véhicule | Type de précipitations | Exigences sur les essuie-glaces | 50 km/h | Pluie légère | Fonctionnement standard | 90 km/h | Pluie modérée | Balais aérodynamiques recommandés | 130 km/h | Pluie forte / orage | Moteur renforcé et capteurs indispensables | >150 km/h | Rafales + pluie battante | Système adaptatif hautes performances |
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Le tableau illustre comment la vitesse du véhicule et les conditions météorologiques influent sur la performance des essuie-glaces. En fonction de la pluie et de la vitesse, il devient nécessaire d’adopter des solutions plus adaptées, comme des balais aérodynamiques ou des systèmes plus avancés, pour garantir une visibilité optimale et une sécurité accrue.
Choisir le bon type de balais
Tous les balais d’essuie-glaces ne se valent pas. On distingue principalement trois types sur le marché :
– Les balais classiques : composés d’une structure métallique articulée, ils sont économiques, mais sensibles à la corrosion.
– Les balais plats (flat-blade) : plus récents, ils intègrent une armature en plastique moulée et assurent une pression plus uniforme.
– Les balais hybrides : un compromis entre robustesse et aérodynamisme, souvent utilisés sur les véhicules modernes.
L’expert AUTODOC ajoute : « Un bon balai ne se juge pas uniquement à sa matière, mais aussi à sa capacité à rester en contact avec la vitre à haute vitesse et par basses températures. »
Il est recommandé de remplacer les balais tous les 12 à 18 mois, voire plus tôt si l’on observe des traces, un grincement ou une perte d’efficacité. Leur état peut également varier en fonction du climat : une exposition fréquente au soleil ou au gel accélère leur dégradation.
L’entretien, un geste simple pour une sécurité renforcée
Un système d’essuie-glaces performant dépend aussi de l’entretien régulier. Il ne suffit pas de changer les balais : il faut veiller à la propreté du pare-brise, vérifier le niveau du liquide lave-glace, et contrôler le bon fonctionnement du moteur et des bras. Une négligence sur l’un de ces points peut rapidement compromettre la visibilité en cas d’intempérie.
Un petit geste souvent négligé : nettoyer les balais avec un chiffon doux et de l’eau tiède tous les mois. Ce simple réflexe prolonge leur durée de vie tout en améliorant la qualité de l’essuyage. Il est également conseillé d’éviter l’utilisation de produits agressifs, susceptibles d’altérer le caoutchouc, ou de faire fonctionner les balais sur une surface sèche, ce qui accélère leur usure.
Enfin, si vos essuie-glaces grincent, vibrent ou semblent fonctionner par à-coups, il se peut que le moteur soit encrassé, que les bras soient déformés, ou que le mécanisme soit désaligné. Dans ce cas, une vérification chez un professionnel est recommandée pour éviter que de simples dysfonctionnements ne deviennent un véritable risque sur la route.
Carlos Sainz futur président de la FIA ?
Le 12 décembre prochain sera une date clé pour la fédération internationale de l’automobile puisque l’organisation va élire son nouveau président. Le contrat de l’actuel, Mohammed Ben Sulayem, arrive à échéance et même s’il se représente à sa propre succession, ce dernier devrait affronter un adversaire de taille.
En effet selon le magazine Autosport (lire l’article), le célèbre ancien pilote de rallye Carlos Sainz envisagerait de se présenter au poste de président de la FIA à la prochaine élection.
Une bonne nouvelle pour le rallye, puisque Malcolm Wilson va prendre ses fonctions après le vote du mois de juin de vice-président de la FIA chargé des sports à la place de Robert Reid qui a démissionné.